La roue évoque le cycle de la vie. Elle trace dans le vide les courbes entrelacées des jambes des nouveau-nés.
À l’intérieur, les corps dansent — comme portés par une chorégraphie instinctive. Spontanéité de l’enfance, douceur des premiers liens. La roue devient un manifeste. Un monde clos — non enfermé, mais protégé. Un espace utopique, où les corps dialoguent sans hiérarchie, dans un équilibre parfait entre vulnérabilité et énergie.
Et si c’était cela, notre modèle ?