Anne Itzykson tenant une sculpture circulaire en fer représentant des jambes d’enfants entrelacées, dessinées dans le vide. Présentée en extérieur sur un balcon face à une façade en briques, l’œuvre évoque le cycle de la vie, le mouvement circulaire

ANNE ITZYKSON

La Roue, 2024

Fer

60 × 120 x 5 | 24 × 47 × 2

La Roue trace dans le vide les courbes entremêlées du cercle de la vie.

Elle n'avance pas, elle tourne. Pas pour aller quelque part, mais pour revenir à l’origine, à soi, au corps. Elle évoque le cycle, l’éternel retour, la répétition comme un rythme vital.

Parce que chaque fin est un début.

Et parce que revenir en arrière est parfois la seule façon d’avancer.